24 octobre 2007

Sculptures sur places "Agorafolly"

Dans le cadre d'Europalia.Europa , un parcours d'artistes sur les places de Bruxelles ("Agorafolly Outside") et une exposition "inside" à "La centrale électrique", Place Sainte-Catherine 44 - 1000 Bruxelles.
"Agorafolly a l’ambition de faire vivre 27 places du cœur de Bruxelles et d’en faire des lieux de rencontre autour de l’art contemporain. L’occasion est ainsi donnée à 27 jeunes talents (un par Etat membre) de créer, dans un espace qui leur a été attribué à Bruxelles, une œuvre symbolisant leur vision de l’Europe de demain.
De tous temps, places et marchés ont été des endroits de rassemblement importants sur le continent européen. Marchands, artistes ou troubadours s'y retrouvaient, faisant de ces lieux de véritables plateformes d'échanges sociaux et commerciaux.
Avec Agorafolly, europalia.europa tentera de rendre aux places ce rôle séculaire et d’en faire des lieux de rapprochements publics ou familiaux autour de l'art contemporain. Le parcours Agorafolly se tiendra d'octobre à décembre 2007 et sera accompagné d'un audioguide. Un guide gratuit sera également mis à disposition des visiteurs. "
Voir le parcours : http://www.europalia.eu/webcontent.php?id=438&lng=fr
Voir la présentation : http://www.europalia.eu/dbfiles/mfile/200710/mfile1729.pdf

Installation de Radovan Cerevka sur la place Rouppe, vision accueillante de notre bonne vieille Europe... Lors de la prise de vue, l'artiste venait de démonter les fils barbelés entourant le camp; trop réaliste peut être?

Et le plan du parcours...
voir le dossier de presse : http://www.brusselsinternational.be/newsimages/5225/agorafolly_farde_de_presse_fr_def.doc?bcsi_scan_934C20D41D700C9A=+Ue9VYKv3ScBXeiXJsODgQwAAACoSnsJ&bcsi_scan_filename=agorafolly_farde_de_presse_fr_def.doc
voir photos variées : http://www.flickr.com/photos/quarsan/1943124785/

19 octobre 2007

Sculpture du royaume du Bénin

"Bénin, cinq siècles d'art royal", Musée du quai Branly, galerie Jardin, 37, quai Branly, Paris-7e. Tél. : 01-56-61-70-00. Du mardi au dimanche de 10 heures à 18 h 30, nocturne le jeudi jusqu'à 21 h 30. Jusqu'au 6 janvier 2008. De 6 € à 8,50 €.
Voir article du Monde : http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3246,36-967905@51-967993,0.html
Voir aussi : http://fr.wikipedia.org/wiki/Royaume_du_Benin , http://detoursdesmondes.typepad.com/dtours_des_mondes/2007/03/le_royaume_de_b_1.html,

14 octobre 2007

Prix de la Jeune Sculpture 2008

La sixième édition du prix aura lieu en 2008. Le concours s'adresse aux artistes ressortissant de la Communauté française de Belgique et n'ayant pas atteint l'âge de 40 ans au 31 décembre 2008.
Voir le site : http://www.museepla.ulg.ac.be/pjs/pre.html

Sculpture-nature

A voir jusqu'au 3 janvier 2008, le plasticien suisse Ugo Rondinone au Palais de Tokyo à Paris.




11 octobre 2007

Sculpture de bon goût

Le sculpteur Daniel Edwards bien connu pour son goût exquis, avec sa sculpture "Britney Spears Giving Birth"

ou encore avec "Paris Hilton Autopsy"...
...récidive pour notre plus grand plaisir avec un monument en hommage au prince Harry, mort au combat en Irak.

Le prince Harry, fils de Diana et officier de l'armée britannique, n'a pas été autorisé à servir en Irak en raison de craintes pour sa sécurité.
Mais la mort qui aurait pu lui arriver a fait l'objet d'une sculpture qui sera exposée à Londres. L'oeuvre d'art de taille réelle, intitulée "Mémorial de la guerre en Irak montrant la mort du prince Harry, martyr de la province de Maysan", dans l'est de l'Irak, montre Harry gisant sans vie, en uniforme militaire et tenant dans une main un médaillon portant la photo de sa mère, la princesse Diana. Des pièces de monnaie couvrent ses yeux, sa tête repose sur une bible et un vautour est perché sur une de ses bottes. Le prince "mort" n'a plus d'oreilles, en référence à la menace qu'avait brandie une milice irakienne de renvoyer sans les oreilles le corps du prince à sa grand-mère, la reine Elizabeth II. Un bronze des "oreilles" du prince doit être vendu aux enchères sur l'internet.La statue, exécutée par l'artiste américain Daniel Edwards, sera dévoilée jeudi dans le cadre de la Bridge Art Fair de Londres.

Sculpture "destroy"


Une longue crevasse zigzague à travers le sol en béton du Tate Modern: Shibboleth, une nouvelle installation conçue par l'artiste colombienne Doris Salcedo pour le vaste Turbine Hall du musée londonien a été dévoilée hier au public.Cette «sculpture souterraine» qui veut provoquer un questionnement sur les divisions de la société et le racisme est déjà parvenue à diviser les premiers visiteurs. «Shibboleth est un espace négatif. Il évoque le trou de l'Histoire qui marque la différence sans fond qui sépare les blancs des non-blancs», a indiqué l'artiste, qui vit à Bogotá, lors de la présentation de son oeuvre. La crevasse de 167 mètres a été creusée en cinq semaines dans le sol en béton du musée, une ancienne centrale thermique reconvertie, a indiqué Nicholas Serota, le directeur du Tate à la presse. La crevasse devrait être comblée en avril prochain mais une cicatrice restera sur le sol du musée, a-t-il précisé. Doris Salcedo a indiqué ne pas s'attendre à ce que son installation rencontre un succès populaire immédiat. Cette oeuvre «demande du temps. Nous avons tous tendance à regarder vers le haut, et elle exige que le spectateur regarde vers le bas», a-t-elle souligné.
Agence Reuters

Cette artiste avait également réalisé une installation remarquée à l'occasion de la biennale d'Istambul en 2003

Sculpture en "sucre"



Dans le cadre de "The Unilever Series"(sponsoring par Unilever) présenté dans "the Turbine Hall"de la Tate Modern du 11 octobre 2005 au 1 mai 2006, une installation de Rachel Whiteread.
"Le grand hall de la Tate Modern (qui abritait la turbine de cette ancienne centrale électrique) est consacré, sous le patronage d’Unilever, à des installations d’ordinaire gigantesques.
Celle-ci que le site décrit en détail, est une accumulation de blocs de polystyrène blancs, moulages de cartons de rangement. On s’introduit dans un labyrinthe de blancheur froide, entre des murs bien droits, bien rangés. Tout est en ordre, les accumulations sont cubiques, ordonnées, une tour domine l’ensemble, pas un cube ou presque n’est de travers. Ce pourrait être une gigantesque sculpture minimaliste, qu’on apprécierait comme telle, mais Rachel Whiteread y rajoute une dose de sentimentalité: pour ce travail, l’artiste est partie d’un carton trouvé dans le grenier de la maison de sa mère, maison qu’elle vidait après son décès. Elle l’a remplie de plâtre, puis moulé et dupliqué. Trop de fantômes rodent. Nous propose-t-elle donc d’errer dans les labyrinthes de sa mémoire ? Ils manquent de chaleur. La pureté minimaliste s’est estompée..."
Blog Amateur d'Art par "Lunettes rouges": http://lunettesrouges.blog.lemonde.fr/2005/11/