29 janvier 2009
Alba, la sculpture du jour
28 janvier 2009
La sculpture mystérieuse, avis de recherche
Réalisée en 1972, lors de la construction du Collège Albert Camus de Eysines (Gironde, F), cette sculpture est inconnue dans les archives de l'école et du conseil général. Étudiants et professeurs cherchent à retrouver le créateur de cette réalisation; à ce jour, elle nourrit l'imaginaire des élèves au travers de travaux d'écriture qui tentent de reconstituer son histoire.
Article dans Sud Ouest : http://www.sudouest.com/gironde/actualite/rive-gauche/article/486893/mil/4099323.html
26 janvier 2009
Antonio Pio Saracino, "interesting" sculpture
La galerie : http://www.soiwat.org:80/MYHTS-and-RYTHMS-for-the-new-MILLENIUM_a141.html
Dina Vierny, le modèle de la sculpture
22 janvier 2009
Anthony McCall, sculpture de lumière
De quoi s’agit-il ? De faisceaux de lumière dont on voit d’abord la trace élégante sur un mur noir dans une pièce obscure : un trait blanc se dessine sur le mur, il se déplace lentement et trace des figures géométriques planes, simples, des lignes droites et courbes qui s’entrecroisent. On regarde alors en amont : le cône de lumière qui part du projecteur est souligné par les volutes d’une fumée artificielle qui flotte dans la pièce, il en devient mordoré, ondoyant, tangible ; on peut tendre la main ou avancer le corps, interrompre le faisceau, créer une ombre et voir sa propre main s’illuminer, barrée d’une ligne blanche. Il faut ensuite se placer derrière le projecteur et regarder les surfaces de lumière qui ondulent entre projecteur et écran, la manière dont elles se déploient comme des voiles, s’intersectent et se rassemblent. Dans chacune des trois salles où une telle sculpture de lumière est déployée, on reste longtemps, regardant sans fin la lumière devenir solide, puis se liquéfier à nouveau.
Anthony McCalll est l’une des figures de proue du cinéma expérimental des années 70; de nombreux artistes contemporains "sculpteurs de lumières" lui sont redevables...
Actuellement exposé à l'"Utzon Center", à Aalborg (Denmark) : http://www.utzoncenter.org/
jusqu'au 3 février 2009, sous le titre "Anthony McCall: Elements for a Retrospective"
Le site de l'artiste : http://www.anthonymccall.com/
21 janvier 2009
Entropa, sculpture voilée
Entropa : le ridicule va-t-il tuer la Bulgarie?
Bon, on est d’accord, représenter la Bulgarie sous forme de toilettes à la turque dans l'oeuvre "Entropa" exposée dans l’atrium du Conseil des ministres à Bruxelles n’est pas d’une grande subtilité. Mais c’est de l’art, quoiqu’on en pense. Sofia ne l’a pourtant pas entendu de cette oreille : en dépit des excuses officielles du gouvernement tchèque, elle a voulu voir l’affront effacé. Résultat : depuis ce matin, le module bulgare est délicatement… recouvert d’un voile noir. Passer des toilettes à la turque à un voile, est-ce une nouvelle forme d’humour tchèque ? En tous les cas, la Bulgarie, en créant l’incident, va réussir l’exploit d’attirer l’attention du monde entier sur sa représentation telle qu’imaginée par l’artiste David Cerny. Ce n’est pas très malin. La Slovaquie, elle, a accepté les excuses tchèques et considère que l’affaire est « close ». L’œuvre me plaît de plus en plus, surtout depuis que le président tchèque, l’europhobe Vaclav Klaus l’a condamné. L’homme qui se considère comme un génie ne doit pas gouter d’être ridiculisé publiquement par Entropa…
20 janvier 2009
«Max Bill – un regard absolu», sculpture au cinéma
Vibrant hommage à Max Bill.Dimanche matin, de nombreux lève-tôt biennois se sont rendus au cinéma Palace pour assister à la première du film «Max Bill – un regard absolu», en présence du réalisateur Erich Schmid.Le réalisateur était accompagné de son épouse, Angela Thomas, également veuve de Max Bill, afin de présenter ce long-métrage et de répondre aux questions du public. A travers des images d’archives et de témoignages de proches de Max Bill, ce dernier documentaire du cinéaste et journaliste Erich Schmid retrace le fascinant parcours de l’artiste engagé, connu internationalement, bien plus qu’en Suisse, pour ses œuvres en peinture, sculpture, architecture et design. Né en 1908, Max Bill suit des cours au célèbre Bauhaus de Dessau. «Si le Bauhaus a transformé le visage du monde, il ne restait parmi ses nombreux étudiants en somme qu’une seule incarnation, Max Bill», insiste l’artiste suisse Gottfried Honegger. Max Bill est en effet toujours resté fidèle à la philosophie de cette école, à la dimension et à la responsabilité sociale liées à l’art. Après la fermeture du Bauhaus par le régime nazi, le peintre décide de fonder, dans les années 1950, l’école d’Ulm, s’inscrivant dans la continuité de l’enseignement et de la philosophie de Dessau. Personnage extrêmement positif et plein d’humour, cet artiste complet a su métamorphoser les étapes les plus noires de sa vie en énergie créatrice. De plus, dans son souci constant d’améliorer la condition de l’homme et de protéger son environnement, il a été très engagé sur le plan politique. Mort en 1994 à l’aéroport de Berlin alors qu’il se rendait en Suisse, Bill laisse derrière lui une œuvre immense et incarne aujourd’hui une des plus importantes figures de l’art concret. Wassily Kandinsky, Paul Klee, Walter Gropius, Piet Mondrian, Lazlo Moholy-Nagy, les Arp, Georges Vantongerloo ou Ray Eames ont croisé sa route de près ou de loin. Ses nombreux monuments tels que le pont de Lavoitobel à Tamins (Grisons), dessiné par Bill et construit en 1966, la «sculpture-pavillon» (1983) qui se trouve devant le siège de l’UBS à Zurich (Bahnhofstrasse) ou, pour ne prendre qu’un dernier exemple, le théâtre de Vidy, conçu par l’artiste en 1964 lors de l’exposition nationale de Lausanne, font partie intégrante du paysage architectural helvétique contemporain.Après des recherches effectuées durant de nombreuses années, Erich Schmid réalise ici un documentaire complet, riche en informations, dans un style cinématographique très classique, pour rendre hommage au grand Max Bill.
Olafur Eliasson à la Fondation Boros d'art contemporain
Le bunker nazi d'Albert Speer devient la Fondation Boros d'art
contemporain
Après cinq ans d'hibernation, les cinq ans de travaux ont été titanesques, vu l'épaisseur du béton et l'impossibilité de faire entrer une grue dans le bunker. Le résultat est édifiant. Toute la vision New Age de la star dano-islandaise de l'art, Olafur Eliasson, peut se redéployer dans les espaces agrandis, blanchis, immaculés. La collection Boros, qui s'est ouverte au public en juin avec l'exposition « Lumière et espace », changera d'accrochage tous les deux ans. Déjà, un must berlinois.
19 janvier 2009
EXPONENTIEL (12)
David Černý, sculpture européenne
Le sculpteur David Černý devant "Entropa" lors de la présentation de son oeuvre.
Nous en avons parlé récemment : http://acasculpture.blogspot.com/2009/01/sculpture-europenne-et-humour.html . Le sujet continue à faire couler beaucoup d'encre et suscite même quelques tensions diplomatiques, certains pays appréciant très peu l'image qui les représente...
Franck Scurti, destruction de la sculpture
Comme précédemment dans la série dite Les reflets, Franck Scurti fait subir aux objets - ici des vases, des jarres, des pots et autres ustensiles produits artisanalement par un artisan céramiste, Gérard Crociani, de Vallauris - des distorsions qui les défigurent considérablement. Ces poteries ainsi malmenées font, par la suite , l'objet d'un traitement très délicat, en ce qu'elles reçoivent une pellicule d'or sur leur paroi intérieure. A cette violence transgressive répond ainsi un contre geste réparateur. Franck Scurti s'accorde, ce faisant, avec les procédés souvent utilisés par Pablo Picasso lui-même qui n'hésiterait pas à dire que la vraie création est toujours une somme des destructions .
Du 10 janvier au 20 mars 2009 au Musée national Picasso, La Guerre et La Paix, Place de la libération à Vallauris (F).
Le site de l'artiste : http://www.franckscurti.net/index.php
Le site du musée : http://www.musee-picasso-vallauris.fr/
On notera le caractère très polymorphe, très diversifié dans le choix des matières, sous tendu par un détournement fréquent des matériaux "de la rue"; il réalise des installations plastiques dans lesquelles il détourne des objets de consommation courante, des logos, des marques de vêtements et le dessin de produits de consommation courante.
Damian Ortega, l'oeil du sculpteur
Né en 1967 à Mexico, Damián Ortega est le premier artiste d'Amérique latine à exposer dans l'Espace 315. Il fait partie, avec Abraham Cruz-Villegas et Gabriel Kuri, des artistes les plus remarqués de la nouvelle génération mexicaine. Il a été révélé en 2003 par l'oeuvre Cosmic Thing, à la 50e biennale de Venise, où une « Coccinelle » Volkswagen était démantelée et suspendue au plafond, déconstruction ironique d'un objet culte de la société de consommation mexicaine. Damián Ortega a commencé sa carrière en tant que créateur de bandes dessinées politiques. Son art manifeste toujours un sens du ludique, qu'accompagne un goût prononcé pour les jeux de langage. Sceptique face aux formes utopiques de l'architecture moderne, l'artiste réalise souvent ses sculptures, photographies et actions à partir de matériaux « pauvres ».Une collection de maquettes moléculaires en trois dimensions est présentée à l'entrée de l'exposition. On pénètre ensuite dans l'espace central où quelque 6 000 modules colorés sont suspendus au plafond. Au fond de la salle, le visiteur découvre à travers une lentille l'installation, qui fonctionne comme une «camera oscura». Avec ce projet, l'artiste reste fidèle à son principe de fragmentation et de dispersion des formes dans l'espace et permet aux spectateurs d'expérimenter de manière littérale le processus de la perception qui relie l'oeil au cerveau.
15 janvier 2009
Chienne de sculpture, Liu Wei
Décès du sculpteur croate Dusan Dzamonja
Sculpture de merde...Wim Delvoye
Le nouveau monde découvre avec ravissement la culture du vieux continent...
C'est l'événement de la rentrée à Montréal. La Galerie de l'UQAM accueille,
en première québécoise, le grand artiste belge, Wim Delvoye, et son oeuvre
controversée: Cloaca N° 5. En clair, il s'agit d'une machine recréant notre
système digestif, de l'ingestion de nourriture... jusqu'à la sortie des
excréments!
14 janvier 2009
Sculpture "européenne" et humour tchèque...David Cerny
Un artiste tchèque a reconnu mardi avoir mystifié la présidence tchèque de l'UE avec une oeuvre d'art monumentale exposée depuis lundi au siège du Conseil de l'UE à Bruxelles. L'oeuvre baptisée "Entropa" est présentée par le catalogue officiel comme "L'Europe vue par les artistes des 27 États membres de l'UE", alors qu'elle est en réalité l'oeuvre d'un seul plasticien, David Cerny, qui a inventé 26 artistes fictifs, avec faux noms et fausses biographies.
Entropa : Les stéréotypes sont des barrières qu’il faut détruire.
La République tchèque a aujourd’hui dévoilé dans l’atrium du bâtiment Justus Lipsius, siège du Conseil de l’UE à Bruxelles, une installation d’art moderne intitulée «Entropa». Cette installation restera en mode « pause » jusqu’au jeudi 15 janvier, date à laquelle elle « commencera à vivre » en plein régime. Une conférence de presse sera organisée à cette occasion dans les locaux du bâtiment Justus Lipsius en présence, entre autres, du vice-premier ministre tchèque chargé des Affaires européennes, Alexandr Vondra, et du représentant permanent de la République tchèque auprès de l’Union européenne, Milena Vicenová. Entropa est l’œuvre commune de 27 artistes tous originaire d’un État-membre différent. Chaque objet représente un État-membre en se servant des stéréotypes communs ou des préjugés. La présidence a chargé les artistes de travailler sans restrictions et les a laissés libres de créer ce qu’ils voulaient. « La sculpture, et l’art de façon plus générale, peut parler quand les mots manquent. En ligne avec la devise de la présidence tchèque « Une Europe sans barrières », nous avons donné à 27 artistes la même opportunité de s’exprimer librement pour prouver que dans l’Europe d’aujourd’hui il n’y a pas de place pour la censure », a déclaré le vice-premier ministre Alexandr Vondra. « En retour, nous avons une œuvre commune et cependant peu commune. Je suis confiant en l’esprit ouvert de l’Europe et en sa capacité à apprécier un tel projet. » « La liberté de l’art est une extension de la liberté d’expression qui elle-même est l’une des valeurs fondamentales de la démocratie », a affirmé Milena Vicenová, le représentant permanent de la République tchèque auprès de l’Union européenne. « Il existe de nombreuses barrières à l’intégration et à la coopération en Europe. Les stéréotypes sont de telles barrières. En les signalant, nous contribuons à les détruire. Se moquer des préjugés est la manière la plus efficace les anéantir.
Ne ratez pas le lien "Entropa" (pdf) , catalogue des artistes imaginaires des 27 pays; un petit régal de clichés...
Le site de l'artiste : http://www.davidcerny.cz/
David Cerny : "rok : 2003"
A suivre : http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-38144800@7-54,0.html ; http://www.france24.com/fr/20090115-exposition-entropa-tcheque-excuse-bulgarie-toilette-ue-stereotype
13 janvier 2009
"Le Cube au Carré", au musée Ianchelevici
Après l'intérêt du public portés aux expositions Art Construit belge d'hier à aujourd'hui et Sculptures construites, le musée Ianchelevici présente Le Cube au Carré. L'exposition prend ces deux figures essentielles comme point de départ et montre comment des artistes belges, pour la plupart, les insèrent dans leur langage plastique. La sélection offre une place de choix au travail de jeunes plasticiens, aux côtés de talents plus confirmés. Une septantaine de pièces parmi lesquelles des sculptures, peintures, oeuvres graphiques, photographies, installations, ... témoignent des recherches inter-générationelles autour de formes apparemment aussi simples que le carré et le cube.
Genèse d'une exposition
L'exposition a été produite par l'asbl « Les Amis des musées de Verviers » sur une idée du sculpteur Bob Van der Auwera. Elle a été présentée une première fois au musée des Beaux-Arts de Verviers au printemps 2008 puis au musée Félix De Boeck à Drogenbos avant sa présentation de La Louvière. Elle sera ensuite visible dans l'Atrium du Parlement de la Communauté française à Bruxelles du 23 mars au 30 avril 2009 et à la Maison de la Culture Famenne-Ardenne à Marche-en-Famenne du 31 octobre au 5 décembre 2009. Le Cube au Carré est une manifestation d'envergure. Elle réunit au départ une centaine de créateurs belges, depuis les années 1920 jusqu’à nos jours, qui, dans la mouvance constructiviste, proposent ce que leur inspirent ces formes géométriques de base.
En 1939, lors de l'exposition internationale sur le thème de l'eau, on remarque "Le Plongeur et son arc" signé Idel Ianchelevici. La Ville de Liège achète un moulage de l'œuvre qui sera perdu. En 1998, des recherches de l'ULG permettent de la redécouvrir et c'est en 2000 que le monument sera réinstallé au Port des Yachts de Liège. (Renseigné sur http://photos-de-liege.skynetblogs.be/post/4714765/le-plongeur )
Il existe d'autres musées consacrés à l'oeuvre de Ianchelevici :
à Maisons-Laffitte (F) (actuellement fermé pour travaux) http://www.maisons-laffitte.fr/article/ficheview/1/645/1/192 et Goudriaan (NL) http://ianchel.nhveldh.org/
08 janvier 2009
Marek Cecula, sculpture de masse
HYGIENE; SET 5, 1995 vitreous china & chrome; 117 x 79 x 43 cm; Photo : JOHN BESSLER
Un travail très sophistiqué et de haute tenue technologique, jouant sur la production, décoration et déformation de produits de l'industrie de la céramique : sanitaire, vaisselles, mais aussi objets "maison" à découvrir sur le site de l'artiste : http://www.marekcecula.com/
07 janvier 2009
Face à la sculpture, masques de Carpeaux à Picasso
06 janvier 2009
Sculpture vue de l'espace
Anthony Caro, sculptures au LAAC
Lors de votre visite ne ratez pas le jardin des sculptures du LAAC; vous y découvrirez parmi d'autres des oeuvres d'Arman, Lalanne et Dodeigne.
Sculpture de glace
Jaume Plensa, sculpture nomade
Une vidéo réalisée lors du vernissage de l'installation de la première version de la sculpture "Nomade" de Jaume Plensa à Antibes.
Lorsque l'immense sculpture de Jaume Plensa a quitté le Bastion pour une autre exposition internationale, Antibes a pleuré ! Du moins tous les amateurs d'art, qui voyaient en cet artiste catalan l'héritier des grands sculpteurs du XXe siècle. Sa grande « Nomade d'Antibes » composée de lettres en fonte d'aluminium assemblée, personnage de huit mètres de haut, accroupie face à la mer et dans lequel le visiteur-voyageur pouvait pénétrer, s'est intégrée au paysage antibois. C'est à ce moment-là, en octobre 2007, qu'Antibes s'est mis à rêver de l'acquisition de cette oeuvre qui pourrait symboliser la ville. Mais Plensa l'avait promise à une exposition internationale. Ensuite, un collectionneur privé de Miami l'a acheté1 640 000 dollars... C'est dire l'intérêt suscité par ce sculpteur dans le milieu de l'art contemporain. L'Amérique, le Japon, l'Angleterre, l'Espagne et... la Côte d'Azur s'arrachent ses oeuvres. A Nice, les bouddhas qui accompagnent le tramway niçois sur la nouvelle place Masséna sont signés Plensa. Antibes va finalement acquérir cette année une nouvelle version de cette sculpture. Jean Leonetti a annoncé hier aux professionnels du tourisme son intention de trouver le financement pour acheter cette oeuvre malgré la crise. Elle sera installée au Bastion pour devenir l'un des symboles d'Antibes. Son prix ? 500 000 euros. La sculpture va être commandée à l'artiste catalan, dès que la municipalité aura bouclé le financement.
Suite de l'article de Nice Matin sur : http://www.antibes.maville.com/actu/actudet_--Antibes-La-grande-Nomade-d-Antibes-le-Plensa-achetee-pour-le-Bastion-_loc-790176_actu.Htm
Tout compte fait, il y est beaucoup question de sous...
Voir également une interview de Plensa dans le magazine Sculpture : http://www.sculpture.org/documents/programsandevents/conferences/GrandRapids2008/pdfs/SculptureMarch06.pdf Nous avons déjà parlé de Plensa dans nos pages : http://acasculpture.blogspot.com/2008/06/sculpture-de-verre-pour-plus-de.html
02 janvier 2009
Maurice Calka, sculpteur, designer et urbaniste
Il y a 10 ans disparaissait Maurice Calka, sculpteur, designer et urbaniste; à cette occasion, création d'un site qui lui est consacré : http://www.ateliercalka.net/ ; ne manquez pas dans cette page le livre animé "L'atelier CALKA", reproduisant l'édition de 2002. On y découvre ses sculptures dont un certain nombre réalisées selon cette technique d'acier soudé et meulé propre à toute une génération de sculpteurs, de Dušan Džamonja http://www.dusan-dzamonja.com/ à César.
Autre facette de son travail, la conception du bureau "Boomerang" en 1969, qui fût exposé au Centre Georges Pompidou dans le cadre de l'exposition «Les Années Pop» (2001).
Cette réalisation reste une référence dans l'emploi des matières plastiques (résine polyester et fibre de verre) par les designer des 60'. Si le sujet vous intéresse, une référence fondamentale: le Musée des Plastiques Pop de 1960 à nos jours, le PLASTICARIUM (B), animé par le spécialiste de la question Philippe Decelle.
Jason de Caires Taylor, Underwater Sculptures
Le site de l'artiste : http://www.underwatersculpture.com/ et la vidéo...