


Et pour être sur que vous avez compris...
CURSUS SCULPTURE DE L’ACADÉMIE ROYALE DES BEAUX ARTS DE BRUXELLES / ÉCOLE SUPÉRIEURE DES ARTS . BIENVENUE A TOUS. DOCUMENTS, TEXTES, PHOTOS, ARCHIVES, ACTUALITÉS, LIENS... A PROPOS DE LA SCULPTURE ET DE L'ART CONTEMPORAIN. L’ÉQUIPE PÉDAGOGIQUE DE L'ATELIER DE SCULPTURE : Lucie LANZINI, Mario FERRETTI, Alexis REMACLE, Marco DE SANCTIS et Mathieu BOXHO
"Personnage à double tête". Céramique; 41 x 53 cm.
Voir aussi l'exposition de la "Group 2 Gallery" , sculptures en céramique et en bois, tableaux et dessins; 8 rue Blanche & 119 avenue Louise à 1000 Bruxelles .
"Pow" (2010). Résine uréthanne pigmentée, laiton chromé et socle de granit. 47 x 35 x 70 cm.
"Untitled", 1973. Dia Art Fondation. © Stephen Flavin, Artists Rights Society
Une pétition en ligne a été lancée pour protester contre la suppression du département sculpture de l'University of Wales Institute, Cardiff (UWIC). Elle fait suite à l'annonce de l'arrêt du programme par la mise en place d'un plafonnement des inscriptions d'étudiants de premier cycle lors de l'entrée.
As we now know the management of UWIC/Cardiff school of art and design have seen fit to close down the Sculpture department. This move has been met with great resistance from the wider Cardiff art scene and students past and present, as it should, but we need to know formalize a response that will show are outrage at this decision, as Sam Hasler has already said
"It is my strong belief that Sculpture as a discipline and mode of thought underpins the most radical and progressive art that takes exists today bringing important contribution to the visual language of painting, print, photography, Performance, Writing... It is my strong belief that a vibrant and diverse creative environment is a pre-requisite for any visual art education program. All artists and creative people thrive in an environment of wide discourse and critical relationships with artists who work both in very similar and very different ways to themselves. Further more, it is my strong belief that a capital city with increasing arts activity has been built on the foundations of a supportive and exciting art college. Each year more and more graduates, a great many from the Sculpture and recently closed MAP/Timebased fine art departments, have gone on to contribute to Cardiff and South Wales, generating arts activity of an international standard in Wales and right across the globe. Arts activity is something that many individuals and organizations have spent years trying to nurture and develop. This activity and growth that threatens to bloom into an exciting and fertile environment is its self now threatened. All regional arts activity is dependent upon trust and support from institutions and educational establishments. The closure of the sculpture department of the Fine Art course alongside the recent closure of the MAP/Timebased department shows a regressive attitude toward contemporary art, it shows a lack of belief in diverse and imaginative arts education, and it shows grave lack of responsibility towards its role in a growing creative hub in the city. For the reasons above I write in protest and request that this decision is reversed immediately."
If you agree with this statement and want to show your support for
what in past years has been an exemplar fine art course, then please sign this petition. We need to show are concern in this matter, if we can unite now then we will be heard!Le site de la pétition : http://www.ipetitions.com/petition/savesculpture/
Le site de la Cardiff school of art and design : http://csad.uwic.ac.uk/csad/news_03_12_10_01.htm ; et sur le même site, une note visant à minimiser l'impact de cette suppression : http://www.csad.uwic.ac.uk/csad/news_06_12_10_01.htm
L'espace architectural, et tout ce qui le constitue, est mon terrain d'action. Ces espaces sont et demeurent les supports premiers de ma peinture. J'interviens
in situ dans un lieu chaque fois différent et mon travail évolue en relation aux
espaces que je suis amené à rencontrer.
En général je parcours le lieu en relevant son architecture, ses matériaux, son histoire et sa fonction. A partir de ses différentes données spatiales et en référence à la dernière pièce que j'ai réalisée, je défini un point de vue autour duquel mon intervention prend forme.
J'appelle point de vue un point de l'espace que je choisi avec précision : il est généralement situé à hauteur de mes yeux et localisé de préférence sur un passage obligé, par exemple une ouverture entre une pièce et une autre, un palier... Je n'en fais cependant pas une règle car tous les espaces n'ont pas systématiquement un parcours évident. Le choix est souvent arbitraire.
Le point de vue va fonctionner comme un point de lecture, c'est à dire comme un point de départ possible à l'approche de la peinture et de l'espace. La forme peinte est cohérente quand le spectateur se trouve au point de vue. Lorsque celui-ci sort du point de vue, le travail rencontre l'espace qui engendre une infinité de points de vue sur la forme. Ce n'est donc pas à travers ce point de vue premier que je vois le travail effectué ; celui-ci se tient dans l'ensemble des points de vues que le spectateur peut avoir sur lui.
Si j'établis un rapport particulier avec des caractéristiques architecturales qui influent sur la forme de l'installation mon travail garde toutefois son indépendance quelles que soient les architectures que je rencontre.
Je pars d'une situation réelle pour construire ma peinture. Cette réalité n'est jamais altérée, effacée ou modifiée, elle m'intéresse et elle m'attire dans toute sa complexité. Ma pratique est de travailler "ici et maintenant".
Pour tout savoir sur les "récepteurs de proverbes ", voir l'article "Abebuu adekai chez les Ga du Ghana. Un regard anthropologique sur l’image" par Roberta Bonetti : http://actesbranly.revues.org/227
"Blue", la nouvelle création du sculpteur- designer Arne Quinze dans un hôtel de Bruxelles.
Vincent Barré installant ses créations à l'issue d'une résidence à l'ENSA de Limoges-Aubusson (2005).
Voir par exemple sur ce sujet :
http://www.elpais.com/articulo/cultura/proyecto/Chillida/Tindaya/empezara/hacerse/realidad/2009/elpepicul/20080131elpepicul_2/Tes
http://www.Escultura-Fuerteventura.html ,
http://www.museochillidaleku.com/ ,
http://carbularte.blogspot.com/2008/02/el-sueo-de-chillida-sigue-intacto-en.html
Nous vous avions parlé de cette installation à la Tate Modern (http://acasculpture.blogspot.com/2010/10/ai-weiwei-graine-de-contestation.html) ; en voici quelques clés...
Le sculpteur californien Chris Burden développe depuis plusieurs mois une sculpture constituée d'un gigantesque circuit d'autos miniatures (1200) évoquant la complexité du traffic de Los Angeles. Cette oeuvre sera installée au Los Angeles County Museum of Art (http://www.lacma.org/).
Nous vous avons déjà parlé de ce sculpteur:
http://acasculpture.blogspot.com/2008/06/sculpture-allume.html
Découvrir d'autres vidéos de son travail : http://www.ubu.com/film/burden.html
A voir également un article "The agony of the body artist", accompagné de documents : http://blogs.suntimes.com/ebert/2009/10/the_agony_of_the_body_artist.html
Lire l'article de la libre, pour faire connaissance avec le "Beam Drop" : http://www.lalibre.be/culture/arts-visuels/article/509979/les-poutres-de-burden.html
Nous n'avons pas coutume de nous intéresser à la sculpture antique; voici l'oubli réparé! Un article du journal le monde "Silvio Berlusconi restitue son pénis à Mars et ses mains à Vénus" appelle, non sans un certain humour, quelques réflexion autour des notions de conservation et de restauration ...
(voici quelques extraits de l'article : http://www.lemonde.fr/europe/article/2010/11/19/silvio-berlusconi-restitue-son-penis-a-mars-et-ses-mains-a-venus_1442483_3214.html)
... Révélée jeudi 18 novembre par Carlo-Alberto Bucci, journaliste du quotidien de gauche La Repubblica, l'affaire fait grand bruit. Outre la somme dépensée qui aurait pu être utilisée pour sauver un pan de mur à Pompeï ou une fresque à L'Aquila, M. Berlusconi et son architecte se voient reprocher d'avoir voulu confondre le vrai du marbre et le faux de la résine, gommant le hiatus entre les éléments originaux les parties reconstituées. Le ministère de la culture et son titulaire Sandro Bondi sont également sous accusation pour avoir autorisé cette radicale remise à neuf.
..." Encore une fois, a regretté la députée du Parti démocrate (gauche) Manuella Ghizzoni, nous sommes en présence d'une institution qui se plie aux caprices et aux manies du premier ministre imposées cette fois à deux vestiges de l'Antiquité qui, contrairement à d'autres, ne se sont jamais lamentés du passage du temps." En réponse, le ministre a fait savoir que ces "retouches" ne contrevenaient pas à l'article 7 de la charte de l'Unesco de 1972 adoptée par l'Italie en matière de restauration et qu'elles étaient "innovantes". Ces prothèses devraient normalement être ôtées lorsque les statues retrouveront leur domicile habituel du musée romain des thermes de Dioclétien.
"C'est une question idéologique, souligne l'expert et marchand d'art italien Peter Glidewell. Le Bernin lui même a 'arrangé' quelques antiquités. Viollet-le-Duc qui passe aujourd'hui pour un sagouin était considéré comme un génie à son époque. L'art n'est pas une science, mais un point de vue. Le seul critère de jugement est celui du bon goût."
Voir aussi la vidéo (non transférable),"Une œuvre à la loupe : “Le Guerrier au bouclier”, de Henry Moore"; le sculpteur Denis Monfleur s'est arrêté devant “Le Guerrier au bouclier”, et c'est à découvrir grâce à Telerama : http://www.telerama.fr/scenes/le-guerrier-de-henry-moore-commente-par-le-sculpteur-denis-monfleur,62450.php
Lors d’une rencontre qui associait également le Service des Arts plastiques de la Ville de Lille et la DRAC, il a été proposé que chaque artiste porte un regard sur l’œuvre de l’autre pour dépasser la simple juxtaposition de deux créations dans le même espace. Le projet est aussi la rencontre entre deux artistes de régions voisines : le Nord – Pas-de-Calais et la Wallonie picarde. Il s’inscrit dans la logique de l’Eurométropole. En 2011, les partenaires institutionnels français inviteront Mario Ferretti à mener un projet avec un autre artiste, selon le même principe.
Bien qu'installé en France depuis plus de 15 ans, le sculpteur allemand Stephan Balkenhol demeure peu connu dans l'hexagone. Ses oeuvres sont rares au sein des collections publiques et, en dehors de quelques expositions organisées par sa galerie parisienne, son travail n'a été que parcimonieusement montré dans les institutions françaises. De fait, la grande exposition que présente le musée de Grenoble est la première de cette importance à lui être consacrée
dans notre pays. Illustrant les différents thèmes abordés par l'artiste ainsi que les différentes techniques qu'il utilise ( ronde, bosse, relief, dessin) , elle se concentre plus particulièrement sur la production des dix dernières années mais quelques oeuvres des périodes antérieures
ont été choisies pour mettre en perspective les développements récents. Elle permet de prendre conscience de la pleine dimension d'une démarche qui, sous un propos d'une apparente modestie – le réinvestissement d'une certaine tradition de la sculpture figurative – offre une image renouvelée, non dénuée d'humour, de la statuaire anthropomorphique et une exploration subtile de la psyché contemporaine.
Présentation extraite du communiqué de presse, très complet : biographie, interview, articles : www.museedegrenoble.fr/DP_Balkenhol.pdf).
La page de l'exposition sur le site du musée de Grenoble (5 place de Lavalette à Grenoble) : http://www.museedegrenoble.fr/balkenhol.htm
Musée de Grenoble, du 30 octobre 2010 au 23 janvier 2011.
Article du journal le monde : http://www.lemonde.fr/culture/article/2010/11/11/les-jeux-sur-bois-de-stephan-balkenhol_1438636_3246.html
"Sempre più" (2009), cèdre. Galerie Monica De Cardenas. ©2010 artnet - The art world online.
Une suite de reproductions sur artnet : http://www.artnet.com/Artists/ArtistHomePage.aspx?artist_id=1881&page_tab=Artworks_for_sale
A l'occasion de l'exposition, édition d'un catalogue "qui accompagne la première grande exposition française consacrée à Stephan Balkenhol rassemble les principales oeuvres et thèmatqiues abordées par l'artiste ainsi qu'un présentation des diverses techniques qu'il utilise (ronde bosse, relief, dessin). L'ouvrage et l'exposition se concentrent plus particulièrement sur la production des dix dernières années de l'artiste." Présentation sur le site des Éditions "Actes Sud" : http://www.actes-sud.fr/catalogue/arts/stephan-balkenhol
Robert Breer, "Floats" (1970), Osaka (Japon); photo: Shunk-Kender